Devoirs de vacances
Hello,
Tout d'abord, merci à toutes celles qui sont venues visiter mon blog en vacances, qui ont laissé des petits commentaires adorables et ont manifesté leur impatience à le voir à nouveau animé. Et puis merci à toutes celles qui ont accueillies mon retour par des commentaires enthousiastes. Ca fait chaud au coeur, c'est la magie de la blogosphère.
Je vous rapporte quelques photos, mais cette activité n'est pas au nombre de mes compétences les plus brillantes...
Voici le bateau de l'amour et une vue de la plage à deux pas de notre loc.
Ca, c'est la vue de la plage depuis la terrasse de la loc.
Le pont de Porto vu depuis le funiculaire (d'où le reflet sur la photo)
Qu'est-ce donc que ceci ? Une prouesse technique, des panneaux de verre ondulés sur une hauteur sympathoche qui isolent la salle de concert de la Casa da Musica à Porto (celles qui auront retenu le nom de l'archi hollandais me laissent un message, je l'oublie systématiquement). Sur le parvis de cet exercice de style en matière d'archi, j'ai croisé Sieur Barozzo, président de l'union européenne, venu, en toute simplicité et juste avant moi, faire la visite guidée, accompagné d'une foule de photographes, de belles dames et de grosses berlines noires....
Quand j'arrivais au niveau de cette chapelle, j'avais à peu près effectué la moitié de mon trajet (à l'aller) lors de mes footing hebdomadaires en front de mer. Courir au bord de l'eau, le matin tôt quand le soleil vous caresse, c'est le bonheur !
Les vacances, c'est ça aussi...
On continue ? Nous voici en Espagne :
La mascotte de Guggenheim
On dirait un bateau fantôme, un château vue dans un miroir déformant, un chat robot endormi....
Et dans le ventre de la bête, des dédales en spirale.
On finit avec le pays basque, sa gastronomie, ses baignades ...
Et le tricot dans tout ça ?
Pas de problème, les voici mes devoirs de vacances, ou comment enfiler des kilomètres à travers l'Espagne et le Portugal en toute sérénité, sans avoir l'oeil sur le compteur ni les fous du volant. Les phrases types : attends je finis mon rang, pas si fort je compte, mince, j'ai perdu une aiguille !
Au final, les enfants sont plus autonomes puisque maman est occupée et que papa conduit, je ne passe plus pour le co-pilote aux réflexions exaspérantes genre : double, pourquoi tu ralentis là, passe plutôt par là, c'est vert... et j'ai de jolies choses à vous présenter aujourd'hui :
Et puis pour finir, un grand merci à ma polimarraine qui me gâte :
Du joli fil et de jolies graines !
Bon week end à toutes.