Adèle et Marilyn
Le top Adèle n'aura pas passé le printemps, il est retourné à l'état de pelotes, au fond du stock de coton : trop large, en faisant une taille S je me retrouvais avec des dimensions pour du L. D'où l'inconséquence de travailler sans filet, sans échantillon veux-je dire... Je teste à ce jour un nouveau fil pour retenter l'expérience et cette fois, je suis sage... Mais peu de tricot car très peu de temps : semaine ultra chargée avec des soirées à l'extérieur quasi tous les jours et ce jusqu'à dimanche (je vous reparlerai de certaines next week). Vive le café tricot qui me permettra peut être de faire chauffer les aiguilles...
Je m'accroche aux dernières séances de Marilyn, et je pleure de voir le gâchis de cette vie si fragile. Hier soir, coïncidence, ils redonnaient sur Arté un documentaire déjà vu consacré à la naissance de cette star superbement shootée par son associé et ami le photographe Milton Greene. Savoir qu'il apprendra sa mort par les journaux comme tout le monde me fend le coeur... Leur amitié n'aura pas résisté à la spirale destructrice qui emportera Norma Jean.