3 juillet 2008
Rechute
Le tricot, c'est comme la bicyclette, ça ne s'oublie pas. Parfois, on est fatigué d'aligner les rangs, les mains s'engourdissent, le flot de pelotes étouffe, la montagne de modèles à réaliser donne le vertige et décourage. Mais on y revient toujours et dès que la laine et les aiguilles sont entre les doigts, on pourrait fermer les yeux, les automatismes sont là qui guident nos pas. Juliet me titille depuis quelques semaines, demain, ma première mission à Paris sera un passage au Bon Marché. Mais là tout de suite, peut-être à cause du temps frais et maussade, voilà que j'ai envie de toucher de la laine, je débute une babe ! pas par hasard, non. Quelqu'un en a bien envie...
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